1. |
Lula Song
05:46
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at some point
of hyper representation of reality,
simulation will saturate and will have to define
antimatter data...
anti data to suppose new anti probabilities ...
usefull in war with thinking machines
we will have to
"materialise the quantic nature of data"
and it will give shape to a cylinder mesh
of cosmos projections
if you consider a phenomenon observed by a cyberlect-intellect
you see a string vibrating
you can consider the values and the topography
these are projections in the frame of reality
finally art is escaping our reality....
we already had art that could not be fused with other data streams ....
and now art that is small enough
to escape the filters of organic body ports...
dependance to objective definitions to create transcendant meanings ....
it will be maintained by crawling robots
assuming our cells gave birth to consciousness
because of some aesthetic interest ...
and because some special disponibility of energy and space
we are to witness the future of nature opportunism...
a movie beneath our eyes with no black images, no rest for brains,
no excited states
we need a dark flicker to update framerate of reality
and avoid stackoverflows of perceptions...
to dream in a harmonic state
against the imperialistic simulations of art
capitalism as a representation of cultural polymerisation and superconductivity
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2. |
Bells of SMarie
05:23
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ce qui rend ce moment touchant
c est que cette déambulation chaotique dans Tokyo
se fait par les yeux d’une jeune Japonaise,
on apprend qu’elle :
– aime Giraudoux
– est née en Manchourie
– déteste le mensonge
– est élève de l’institut francais
– déteste les machines à écrire électriques
et les français trop galants
elle n’est pas « la Japonaise modèle,
à supposer que cet animal existe,
ni la femme modèle, ni la femme moderne. »
De par son origine mandchourienne
et le fait qu’elle parle gaijin,
il y a quelque chose à part chez cette jeune femme.
Au milieu d’une bande son qui donne la part belle aux bruits de la rue
et aux bavardages narcissiques,
sa voix mal assurée, égrenant dans notre langue des phrases maladroites,
truffées d’erreurs syntaxiques,
la place comme un être à part.
Aux antipodes des haïkus dépouillés de tout ornement, elle se livre,
s’épanche d’une manière qui résonne familièrement à des oreilles gaijin.
Un drôle d’oiseau que cette fille.
« Autour d’elle, le Japon ».
il est partout, il se donne à voir mais en même temps reste incomprehensible.
les seuls moments où tout semble clair sont les extraits des emissions tele.
Course de relai ou match de boxe, le tout commentés par une voix gaijin
c’est limpide. Mais pas du tout japonais
Et aussitôt emportés par un nouveau flux d’images made in Japan.
Le véritable spectacle n’est pas tant ces athletes du systeme
mais évidemment le quotidien nippon qui défie le filtre comb.
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